La maison Jean Patou renaît avec un nouveau nom, Patou tout simplement, et nomme à sa direction artistique, le talentueux Guillaume Henry, qui fit revivre brillamment et avec succès la maison Carven, avant de partir chez Nina Ricci. «Patou comme un surnom, un mot, un ami, une invitation, Patou pour la femme d’à côté et toutes les femmes de sa vie.» Ou encore : «Patou comme une promesse de style, avec du sens, comme un sous-titre, un beau chapitre, comme un
sourire dévastateur…» explique la maison dans un poème qui illustre les toutes premières silhouettes. Jean Patou dessinait des robes du soir simples et chics. Il fut le premier à s’intéresser au sportswear (il habilla Suzanne Lenglen à Wimbledon) et également le premier à apposer sur ses créations un monogramme composé de ses initiales. On attend avec impatience la première collection !
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