Les maisons ont présenté, il y a quelques semaines, leur collection de haute joaillerie : des pièces remarquables et uniques qui font de Paris l’écrin de la joaillerie.
Les joailliers créent des pièces remarquables, de véritables œuvres d’art. Boucheron met le lotus en majesté avec son collier New Maharani (collection New Maharajahs), qui dessine sur la peau une élégante dentelle de diamants. Chez Bulgari, deux serpents encerclent le cou dans une double étreinte: un chef-d’œuvre qui a nécessité plus de 800 heures de travail. Chez Cartier le superbe collier Synesthésie, orné d’une troublante émeraude de Colombie à la transparence remarquable taillée sur trois faces qui donne l’illusion d’émeraudes juxtaposées, vers laquelle converge une cascade de petites boules d’émeraudes et de turquoises. Chez De Beers, le ras du cou s’inspire de la structure cristalline entrelacée d’un atome: les diamants s’entrecroisent pour épouser parfaitement la courbure du cou. Chez Dior Joaillerie, Victoire de Castellane réinterprète les galons, ornements qui viennent s’apposer sur les robes de la maison: une pièce asymétrique d’une grande élégance. Chez Tasaki, une cascade de perles pour le long collier Waterfall: perles Akoya, perles des mers du Sud blanches et perles d’eau douce. Enfin, chez Piaget, le long collier de la parure Glowing Lanterns qui associe des perles d’or jaune et une somptueuse tourmaline verte qui s’illumine de l’intérieur grâce à un système de leds dissimulé en son sein. Grandiose.
Photographie principale : Boucheron
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